Yersinia Pestis
Au début du XXe siècle, le quotidien d’un village québécois est troublé par la mort d’une fillette.
Yersinia Pestis est un court métrage de fiction écrit et réalisé par David Harrisson qui sera tourné à la fin de l’hiver 2016. Le film promeut un genre peu exploité au Québec: le suspense historique teinté de fantastique. D’une durée approximative de 20 minutes, il mettra en vedette Olivier Barrette et Claude Lemieux.
Au début du XXe siècle, le quotidien d’un village québécois isolé est troublé par la mort d’une fillette. Suivant les traces de son père qui était photographe funéraire, Émile s’y rend pour photographier l’enfant décédée. Au cours de son travail, il est inconfortable avec l’attitude circonspecte de ses hôtes. Malgré lui, Émile se retrouvera mêlé aux secrets les plus sinistres des villageois et découvrira le passé sombre qui hante le village. Jadis frappés par des vagues de peste mortelle, les habitants ont mis de l’avant une solution pour éradiquer la maladie impliquant un pacte avec le mal…
Yersinia Pestis s’inspire de manière assez claire du cinéma québécois d’époque – Mon oncle Antoine, Le survenant, J.A.Martin, photographe – et tente à sa façon de dépeindre la réalité du Québec rural du siècle dernier. Toutefois, il joue sur les archétypes de notre cinéma pour y amener une dimension fantastique et créer une légende fictive.
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In the early twentieth century, the daily life of an isolated Quebec village is troubled by the death of a little girl. Following his father footsteps as a funeral photographer, Emile goes to the village to photograph the dead child. During his work, he is disturbed by the ambiguous attitude of his guests. Despite himself, Emile will be plunged into the darkest secrets of the villagers and will face the tenebrous past that haunts the village. Long ago hit by waves of deadly plague, the inhabitants have put forward a solution to eradicate the disease which involves a pact with evil…
Yersinia Pestis is clearly inspired by Quebec period’s film – Mon oncle Antoine, Le survenant, J.A.Martin, photographe – and tries to portray its rural reality at the beginning of the last century. However, it plays on the archetypes of this cinema by bringing a fantastic dimension to it and by creating a fictitious legend.